Analyse du projet Syntec

 

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Le texte de Syntec

Analyse de l’introduction de Syntec :

Préambule sympathique et valorisant du Syntec. Nous en attendons une traduction dans les propositions patronales :

 

550 000 salariés : capital intellectuel de première importance. Y aura-t-il une traduction financière (Augmentation Générale dans les entreprises et des minima sur la Branche ?).

 

Attirer les jeunes de talents : il faudra s’interroger sur les raisons pour lesquels tant de ces jeunes quittent les entreprises de la branche, et pourquoi nous avons un déficit aussi fort de candidatures féminines. Est-ce les conditions de travail ? La difficile compatibilité de nos métiers avec la vie personnelle ? L’absence d’évolution de carrière ? Le traitement des salariés pendant les crises ?

 

L’issue prochaine d’une situation de difficultés économiques : quelles analyses font les entreprises de la branche de leur guerre des prix, des projets vendus à perte, des raisons conjoncturelles, mais AUSSI structurelle de la crise de nos secteurs. Quand à l’issue prochaine, quel apport des entreprises à l’issue de cette crise (plans sociaux, baisse des salaires, délocalisation…) ? Quelle stratégie ? Quelle justification de la Valeur Ajoutée ? Quels services aux clients ? Qu’on fait les entreprises du secteur pour le pays aider à sortir de la crise mis à part attendre en licenciant la reprise américaine ?

 

Modifications de la sociologie des salariés et [de] leur rapport au travail, c’est bien, les patrons découvrent que le caporalisme ne doit plus avoir cours, et que les salariés ont même une vie personnelle.

 

Une préoccupation permanente de l’attractivité de la Branche dans le monde du travail : c’est certain, attirer les jeunes quand on vire les anciens ou embaucher des salariés chargés de famille quand on fait la promotion de la mobilité permanente c’est pas facile.

 

« faire rêver » : c’est toujours le regret des hommes politiques éliminé des premiers tours ou battus au second, « je n’ai pas su faire rêver ». Mais ce que les communicant leur disent pas c’est qu’il y a parfois le bilan qui pèche (licenciement illicite des InterContrats, pas de stratégie économique, caporalisme…) et le projet (contrat de mission, mobilité et précarité à tous les étages…)

 

Le texte de Syntec

 

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Vous pouvez retrouver le Betor Pub sur Internet :

 

le site du syndicat Bétor Pub CFDT

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(mise à jour 15/01/2004)

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